L'univers

Le cosmos est constitué de champs quantiques illimités. En effet, le néant n’existe pas, seule la conservation de l’énergie existe. Et celle-ci parle de champs quantiques sans fins, dans lesquels la quantité de mouvements se conserve autant que l’énergie ! Ils permettent l’évolution de son contenu vers la complexité à travers le temps.

 

Ainsi, l’univers est un espace sans limite se dirigeant vers le futur. Il contient des formes qui interagissent entre elles afin de se complexifier, donc d’augmenter sans cesse l’entropie de l’univers. C’est-à-dire l’Information; la description du cosmos. Une Information qui ne peut que croître à travers le temps. Ainsi tout y est sans limite : l’espace, le temps et même l’entropie !

L’univers étant sans fin, l’espace-temps y est relatif. C’est-à-dire qu’il dépend de l’environnement. Ainsi, une position ou une vitesse doit se définir par rapport à l’environnement. Et c’est cet environnement qui définit les interactions qui sont possibles. Ainsi, les interactions dépendent de l’environnement. Mais elles dépendent aussi d’un Ajustement Fin en taux de probabilités. Celles-ci dépendent des Forces qui utilisent cet environnement pour se manifester. Ainsi, si l’environnement peut être sûr et certain (relativité générale), l’interaction par contre (mécanique quantique) ne l’est pas, elle est probabiliste.

 

Cela a pour conséquence l’apparition de phénomènes improbables. Ceux-ci amènent la théorie du chaos. Celle-ci conduit à l’effet tunnel et ses conséquences : la fusion nucléaire ! Cette interaction improbable oblige la matière à se complexifier. Ainsi, elle permet à l’entropie de croître sans cesse. Parfois jusqu’à des niveaux proches de l’infini !

 

En effet, l’entropie de la vie est très complexe face à l’inerte. Ainsi, dès que la vie animale apparaît,… Le niveau de l’entropie est localement (planète) augmenté de façon exponentielle ! Car tel est le sens de l’univers : l’Évolution ! C’est-à-dire l’accroissement de l’Information (entropie). Une entropie qui s’accroît sans cesse grâce au principe de causalité. Celui qui oblige la matière à évoluer en interagissant avec l’environnement. Ces interactions amènent sa complexification, donc l’évolution de son Information. Une Information qui prend… « vie », dès que celle-ci apparaît !

Grâce aux champs quantiques, l’énergie se conserve sous différentes formes. Cette énergie qui se conserve, se balade dans un champ ou un autre. Ainsi l’énergie s’adapte à son champ en y évoluant par quantas spécifiques. Ces quantas d’énergie prennent la forme de perturbations qui s’y déplacent. Ce faisant, leur énergie active/allume les propriétés de leur champ respectif. Des propriétés comme l’électromagnétisme ou la charge nucléaire (saveur). Ce qui donne, dans notre macroréalité,… des particules qui se déplacent !

Ces quantas ou perturbations font ce que leur champ leur dit de faire : soit se transformer, soit se véhiculer,... mais elle ne disparaît jamais ! Car l’énergie se transforme sans cesse. L’Ajustement Fin lui dit comment. Cependant, elle peut également se conserver. Ainsi, elle se balade dans des champs qui ne peuvent que la conserver ou la transformer. Toutefois, cette énergie les perturbe, obligeant ces champs à réagir à son passage. Ainsi, les champs quantiques respectifs s’activent tour à tour à son contact. Et ce sont les propriétés du champ activé qui vont engager d’autres interactions. Des interactions probabilistes permettant l’Évolution de l’Énergie. Celle qui activa l’univers il y a 13,8 milliards d’années.

 

Tout dépend du champ considéré et donc de ses propriétés. Ainsi, il existe deux grandes familles : les bosons et les fermions. C’est-à-dire les quantas d’énergie de transferts et la masse qui est stable (matière). Les bosons ne sont en général pas stables et ne perdurent pas. Leur seul champ qui puisse conserver l’énergie est le champ électromagnétique. Ainsi est le fond diffus cosmologique : de l’électromagnétisme qui se conserve. Les fermions sont plus exotiques ; ils conservent l’énergie sous forme de masse. Une masse qui perdure indéfiniment et interagit, elle aussi. Mais la masse amène un autre phénomène : l’inertie. C’est-à-dire la difficulté de modifier le mouvement.

 

La nature des champs donne aussi la propriété de l’énergie qui la parcoure. Si c’est un champ de fermions, l’énergie se conserve et se véhicule. Elle le fait selon les attributs du champ, tout en activant de nombreux autres.

Ceux-ci interagissent eux-mêmes entre eux, amenant différentes interactions. Ils le font selon un taux de probabilité décrit par l’Ajustement Fin de la physique. Ils permettent aussi de la faire évoluer afin qu’elle se complexifie structurellement.

Le premier champ à s’activer avec un champ de fermions est le champ de Higgs. Ce dernier réagit selon la nature du champ qui interagit avec lui. Si c’est le champ des électrons, il lui accorde à peine une masse de 0,5 MeV/cm². Si c’est le champ des bosons Z°, il reçoit une masse de 91.187 MeV/cm². Toutefois, celle-ci ne reste pas et se transforme. Ainsi, l’interaction dépend du champ considéré qui amène ses propres propriétés ! Une interaction probabiliste dans les autres champs, mais pas dans celui de Higgs. Effet, il est différent : c’est le seul champ connu qui soit scalaire. Donc, il rayonne équitablement dans toutes les directions. C’est aussi le seul champ qui n’ait pas d’anti-champ (pas plus que la Gravité) car il ne s’inverse pas.

 

Tous les autres champs ont leur opposé puisqu’il existe aussi des anti-champs. Les anti-champs sont l’inverse de nos champs et ont des propriétés opposées. Les plus connus sont les anti-champs des fermions, ce qui donne l’antimatière. Mais il existe aussi ce qui est inconnu, la Force noire,… Ce qui donne des anti-champs de bosons de Gauge !

En bref, les champs quantiques sont composés :

Soit de particules scalaires (boson de Higgs et graviton),…

Soit de bosons de Gauge (énergie de transit) qui sont vectoriels,…

Soit de fermions (matières réelles et virtuelles) qui sont des spineurs.

Ces derniers ont des propriétés tout à fait surprenantes, car non seulement l’énergie y perdure indéfiniment sous forme de masse, mais en plus, elle crée une nouvelle interaction : le contact ! Cela est dû au principe d’exclusion de Pauli qui est basé sur une impossibilité : l’énergie qui se balade dans un même champ de fermions ne peut se traverser, car ses manifestations (quantas) ne peuvent coexister dans le même espace. Pas au même endroit et au même moment,…bref, pas dans le même espace-temps ! Elles doivent soit prendre un espace-temps différent, soit changer de champ, ce qui n’est possible que suite à une interaction avec l’environnement. Donc, l’énergie, dans les champs quantiques de fermions, évite de se traverser. Elle prend des options différentes : soit se croiser, soit se toucher (ricocher). Ce phénomène amène donc le contact. Ce contact permet à d’autres interactions de prendre le relais. Ce sont les interactions magnétiques et nucléaires. Celles-ci offrent une pression qui accentue le contact. C’est ce qu’on appelle la pression de dégénérescence de la matière. Celle-ci s’oppose à l’effondrement dû à la Gravité (naines blanches, étoiles à neutrons).

 

Cependant, les champs et anti-champs de fermions sont eux-mêmes en contact l’un avec l’autre. Ainsi, ils interagissent sans cesse entre eux, donnant des particules virtuelles. Et dès que l’énergie s’intègre, elle le fait à travers les deux champs. Ainsi, elle crée aussi bien de la masse dans un champ que dans son anti-champ ! Ainsi, une masse (matière) apparaît toujours avec son contraire (antimatière), puisque champs et anti-champs de fermions sont en symbiose (liés l’un à l’autre). Et ils interagissent de la même façon face au champ de Higgs qui est scalaire. C’est-à-dire que ce champ n’a pas d’opposé, donc d’anti-masse. Toutefois, quand les fermions de champs opposés entrent en contact, ils s’annulent et se transforment. Ils passent de champs de fermions à des champs de bosons. Ainsi, leur masse se transforme en une énergie qui se libère.

Dans son voyage, l’énergie acquiert les propriétés de son propre champ. L’une d’entre elles est son moment angulaire ; une « rotation » locale du champ. Ainsi, dans leur interaction, les quantas qui y voyagent, empruntent ce moment. Ce qui donne un spin à la particule que l’on perçoit et qui se déplace. Les champs de spineurs ne cessent d’interagir face aux mouvements des quantas. Comme leurs champs et anti-champs sont en contact, l’énergie enclenche les deux : elle acquière les attributs de chaque champ qui interfère avec son déplacement, ce qui donne le spin de chacun d’entre eux à la matière, donc des spins opposés ! Ces doubles spins (720°) vont enclencher des phénomènes magnétiques.

Les champs n’offrent pas de réalités bien définies mais des réalités superposées. C’est-à-dire qu’elles sont « réelles », donc possibles, contrairement à l’exclusion de Pauli, mais qu’en plus, elles se passent en même temps, ce qui offre le surréalisme ! Ainsi, l’énergie qui voyage dans les champs n’a pas de position. Son mouvement dans le temps l’entraîne à avoir des superpositions possibles. Dès lors, elle voyage comme une onde de probabilité de présences, mais elle interagit comme une seule particule selon les propriétés de son champ. Cette superposition amène les premières géométries : des isosurfaces. Celles-ci offrent de nouvelles propriétés : la solidité ! Donc des corps solides constitués majoritairement de vides quantiques. Mais qui n’offrent qu’une seule interaction probabiliste par particule. Celle-ci interagit face à son environnement selon un taux de probabilités. Celui-ci est issu d’un Ajustement Fin des lois de la physique et de leurs constantes.

 

L’interaction ne dépend pas d’une mesure, seulement de l’environnement. Toutefois, celui-ci peut imposer une interaction (grâce à une mesure). Car l’environnement définit les réalités possibles. S’il désigne une réalité grâce à une interaction, les réalités contraires deviennent irréalistes et ne peuvent apparaître !

 

C’est l’interaction établie avec l’environnement, selon le taux dicté par l’Ajustement Fin, qui détermine notre réalité !

C’est l’interaction établie avec l’environnement,...

Selon le taux dicté par l’Ajustement Fin,...

Qui détermine notre réalité !

 

Ces champs quantiques sont soumis à la géométrie de l’espace-temps : ils se déforment à cause de la masse. Cette dernière est une disposition tout à fait particulière de l’énergie. Elle permet de la conserver indéfiniment sous forme de matière. De même, ces champs se soumettent à la relativité générale. C’est-à-dire qu’ils se courbent avec l’espace-temps à cause de cette masse. Ces déformations de l’espace-temps sont donc spatiotemporelles. Elles impliquent des géodésiques qui demeurent imperceptibles. En effet, nous ne percevons pas le temps, juste le présent (limité). Donc, elles se confondent en des courbes spatiales qui font tomber les objets. Cependant, ce ne sont pas des courbures mais des géodésiques spatiotemporelles. C’est-à-dire des courbes dans une dimension que l’on ne voit pas : la temporalité.

 

 

L’ensemble permet aux masses de se rapprocher. Ce qui incite la matière à interagir à travers le temps. Cela forme des géométries spatiales de plus en plus complexes. Celles-ci mènent vers l’apparition de la chimie organique. Et grâce à un environnement hospitalier, l’apparition de l’ADN ! C’est-à-dire un témoignage de l’Information organique ; la génétique ! Dès que celle-ci s’organise, la vie apparaît de façon naturelle. Dès lors, l’entropie croît de façon exponentielle dans un environnement adapté. Cela apparaît de façon locale dans l’immensité de l’univers. Ainsi, celui-ci regorge d’étoiles ayant des zones hospitalières abritant la vie. Mais dans toute cette immensité, elles sont très isolées puisque les conditions de leur apparition sont improbables ! Cela est inclus dans la théorie du chaos : c’est l’improbable qui fait évoluer ! Cela donne de différentes évolutions nécessaires, toutes faites d’improbabilités. Ainsi, les conditions de la vie étant très improbables, celle-ci l’est aussi ! Et parce qu’elle est improbable, donc rare, elle devient si précieuse dans l’univers ! Toutefois, localement, elle se gaspille de façon incalculable ! Tout dépend de l’environnement et de ce que l’on en fait ! Car telle est la grande règle de l’univers : la causalité ! Celle qui se témoigne à travers l’entropie de l’univers !

Il y a plus à découvrir : Les Enseignements de l’Ange, tome I, L’origine de la matière !