La nature de la matière noire

Sujet :
J'ai trouvé de nouvelles particules théoriques qui correspondent à la matière noire. Si c'est bien le cas, j'ai aussi découvert sa nature. Je demande une vérification par simulations informatiques.
Auteur :
Pascal Wery (théoricien)
E-mail : pascal.wery@gmx.fr
Résumé :
La matière noire est l'une des plus grandes inconnues, pourtant elle est le facteur gravitationnel le plus important de l'univers. En effet, la matière noire est la matière la plus nombreuse, ainsi sa masse influence le design du cosmos. Elle a permis la formation des structures galactiques et les maintient. Ainsi, il est bien difficile de comprendre l'univers sans connaître ses propriétés. Cependant, elle ne réagit qu'avec la gravité et non avec les autres forces fondamentales. Il ne s'agit pas d'une "faible" réaction mais d'une absence totale de réaction directe avec un spin entier !
En effet, la matière noire nous est non seulement invisible car elle n’a pas de champ électromagnétique détectable, mais en plus elle ne témoigne d’aucune réaction nucléaire que se soit. Enfin, elle ne semble pouvoir influencer que de large zone, ce qui incite à penser qu’elle est incapable de trop se concentrer. Ainsi la seule chose que l’on connaisse de la matière noire n’est pas ses propriétés, mais ses « non-propriétés », autrement dit ce qu’elle ne fait pas, c’est-à-dire réagir avec nos propres forces fondamentales (excepté la Gravité) en plus de ne couvrir que de large zone (larges lentilles gravitationnelles). Ainsi la matière noire demeure un grand mystère. Toutefois, si on pose le problème autrement, il y a moyen de comprendre.
« Un problème sans solution est un problème mal posé. » Albert Einstein
La démarche :
Le point de départ est une réflexion sur la création de paires avec des énergies opposées aux nôtres. De telles énergies créent des matières dont les propriétés sont similaires à la matière noire.
Introduction :
On commence avec une simple réflexion sur la création de paires. Est-ce un phénomène universel récurrent où un simple hasard ? Dans le cas d’un phénomène récurrent, cela veut dire que tout se crée par paire, y compris les énergies. Pour vérifier la validité d’un tel modèle, on repense les énergies en imaginant quelles pourraient être les propriétés d’énergies opposées aux nôtres. La première réaction est de croire que de telles énergies s’annuleraient, ce qui les rendrait inopérantes. Mais on s’aperçoit alors que l’énergie est indifférenciée, ainsi elle ne se combat pas mais s’additionne. En poursuivant l’analyse on se rend compte que de telles énergies sont créatrices de matières dont les propriétés sont analogues à la matière noire.
Méthodologie :
Il existe plusieurs méthodes pour faire de la science : l’observation, les mathématiques, les exercices de pensées, etc. La méthode utilisée est cette dernière, l’exercice de pensée comme le départ des recherches. Dans ce cadre, on extrapole la création de paire pour découvrir quelles pourraient avoir les propriétés des énergies contraires aux nôtres comme l’antimatière est contraire à la matière. Bref, on extrapole le conflit des spins demi-entiers avec les spins entiers.
Le résultat :
On découvre une matière dont les propriétés sont analogues à celles de la matière noire : une incapacité à interagir que ce soit avec nos propres forces où avec la matière ordinaire. De même, elle est aussi incapable de s’effondrer sur elle-même. Enfin, elle possède une grande masse au niveau universel que notre matière attire.
Conflit d’intérêt :
J’ai raison, je suis champion,… J’ai tort, je ne suis plus mentor !
Donc, à part avoir raison, qui est le plus intéressant à tous les niveaux, il n’y a pas de conflit d’intérêt. Toutefois l’ego humain est en lui-même un conflit d’intérêt pouvant mener à l’erreur humaine. C’est pourquoi il faut être prudent : le conflit étant inévitable, l’information ne peut être validée que si elle est confirmée par les paires (autres scientifiques).
Discussion :
La science est étrange : on fait pleins de découvertes extraordinaires mais comme on ne les comprend pas, on passe souvent à côté de petites merveilles. Ainsi voici un exemple : la création de paires.
La création de paires stipule que toute matière est créée avec son antimatière. Ainsi un électron est créé avec un positron et un quark l’est avec un anti-quark. Bref, toute matière se créer avec son opposée. Mais comme les propriétés des opposés diffèrent, leurs comportements aussi. Ainsi, la matière a survécu face à l’antimatière grâce à son plus grand indéterminisme. Toutefois au départ, ces opposés sont créés équitablement.
C’est un phénomène récurant car chaque pôle nord est aussi créé avec son pôle sud et chaque polarité a également son sens contraire. Ainsi, tout semble créé par paires opposées. C’est une forme d’équilibre universelle que j’ai nommé la loi d’équité.
Si on applique cela à la théorie de la « supersymétrie » cela devient intéressant. Cette théorie stipule que toute matière a son correspondant énergétique. De même, toute énergie a son correspondant matériel. Y compris les hautes énergies du début de l’univers. Leur correspondant matériel est le monopôle, une particule théorique hyper massive. Ainsi cette théorie, liée à la loi d’équité, donne des anti-monopôles puisque tout monopôle est créé avec son contraire.
Et l’énergie ? N’a-t-elle pas aussi son opposée ? Une forme d’anti-énergie ? Vérifions !
« L’imagination est plus importante que le savoir. » Albert Einstein
L’énergie serait alors double mais contraire. Une forme énergétique positive et une négative. Mais ces deux formes coexisteraient sans se toucher puisque l’énergie est indifférenciée. En effet, l’énergie ne s’affronte pas, elle se concentre sur la matière. Ainsi, il n’existe de combat au sabre-laser que dans l’imagination. Dans la réalité, des rayons lasers ne s’arrêtent pas au bout d’un mètre. Une fois lancé, le photon file tout droit. Il ne s’arrête que pour toucher la matière et la faire réagir. Ainsi des lasers qui se croisent ne se touchent pas. Ils touchent ensemble la matière et se conjuguent. Mais ils ne se combattent pas, ils s’additionnent ! Ainsi, il n’y a pas d’annihilation entre ces deux opposés. Ainsi, l’énergie positive et l’énergie négative se partagent le même univers.
Mais que veut dire « positif » et « négatif » avec des énergies ? Cela veut dire que ce qui est attractif avec nos énergies devient répulsif avec les autres. Mais ce sont les mêmes énergies que les nôtres, c'est-à-dire la Gravité, l’électromagnétisme et les forces nucléaires forte et faible. Bref, dans cette théorie, les forces noires sont simplement nos propres forces inversées. Par exemple, la force nucléaire forte noire n’est pas une force de liaison mais de répulsion. Ainsi elle ne lie pas les quarks noirs entre eux mais elle les repousse.
Cependant la force de Gravité est une exception. En effet, la particule de Higgs qui véhicule la masse a un spin zéro et non un spin entier. Pourtant, on l’appellent encore le « boson de Higgs » par habitude, autrement dit le « spin entier de Higgs ». Mais ce « boson » n’en est pas un, bien qu’il véhicule une force d’interaction. En effet, un spin zéro a des propriétés bien différentes d’un spin entier : l’orientation du spin entier importe alors que celle du spin zéro (s’il y en a une) ne conduit à aucun effet. Dès lors, il est à considérer que cette inversion des forces ne conduit à aucun effet non plus. Autrement dit, la Gravité induite par la masse y est son propre opposé.
Et comme les nôtres, ces énergies opposées créent aussi des matières. Des matières dont les masses vont suivre instinctivement la Gravité. Cependant, ces matières ne réagissent qu’avec ces forces contraires et non avec les nôtres. Des forces répulsives qui parlent de déploiement de la matière dans l’espace.
De ce fait, ces matières ne souffrent pas de l’exclusion de Pauli. Celui-ci interdit à des particules matérielles d’occuper le même espace. Mais comme ces matières ont des attributs différents, elles peuvent coexister dans le même espace-temps que le nôtre.
De plus, ne réagissant pas avec nos forces, elles nous seraient complètement invisibles et indétectables. Ainsi, nous ne distinguerions pas ces matières, même si elles remplissaient tout notre horizon ! Sauf… Avec leur gravité puisque ce sont tout de même des formes matérielles, donc des spins demi-entiers. Ayant ces attributs, ils ont une masse.
Ces matières, étant liées à des forces répulsives, se repousseraient violement entre elles. Ainsi, il n’y aurait pas de baryogénocide (destruction de la matière) avec une baryogenèse (création de la matière). Car avec nos propres forces, la matière affronte l’antimatière et seul un faible pourcentage de matière survit au conflit. C’est ce résidu de survivants qui compose notre univers observable.
Toutefois, ces matières se repoussant entre elles, il n’y a pas de conflit puisque tous se fuient. Ainsi, ces matières ne se touchant pas, matière et antimatière coexistent pacifiquement. Ce qui ferait que le nombre de ces particules serait incroyablement plus élevé que le nôtre.
De plus, toujours à cause des forces répulsives, ces matières ne s’effondreraient pas d’elles-mêmes. Ainsi, elles n’entraîneraient pas l’univers dans un trou noir géant du fait de sa grande masse. Bien au contraire, elle serait fluide et impalpable tout en étant partout à cause de son nombre.
Ces matières préfèreraient suivre une masse non répulsive. Donc, une masse qui ne réagit pas avec leurs propres forces. Bref, elles préfèreraient suivre notre matière plutôt que la leur et ainsi suivre tous ces champs gravitationnels. Des champs qu’elles amplifieraient avec leur propre masse. Et vu la grande quantité de ces matières avec leur antimatière, ces champs seraient très élargis.
Cela ne vous rappelle pas quelque chose ? Mais oui, la gravité fantôme ! Autrement dit, nous sommes en train de parler de la matière noire ! La matière noire : une simple extrapolation de la création de paires. Intéressant, non ?
De même, ces particules réagissent aussi avec l’effet du vide, un vide quantique qui engage une pression. La pression du vide est infime avec notre matière. Mais en s’exerçant sur des particules répulsives, elle devient beaucoup plus forte. Le tout donne un champ répulsif universel. Cela ne vous rappelle pas autre chose ? Mais oui, la constante cosmologique d’Albert Einstein peut-être ? Une constante qui contre l’expansion universelle.
En allant plus loin, on peut aussi considérer l’électromagnétisme qui est répulsif entre mêmes charges. Dans ce cas, une inversion des forces fondamentales donne un effet attractif entre mêmes charges. Ainsi les leptons noirs pourraient s’attirer entre mêmes charges et se repousser entre charges différentes. Dès lors les électrons noirs repoussent les positrons noirs mais s’associent entre eux et inversement pour les positrons noirs. Compte tenu de la masse incroyable de la matière noire, une telle disposition conduirait à un effondrement de ses leptons en trous noirs extrêmement massif. Les plus petits seraient intermédiaires mais la plupart seraient des trous noirs super massifs. Dès lors, ils formeraient les premières fluctuations gravitationnelles de l’univers et seraient à l’origine d’un univers très mature : des galaxies géantes se seraient formées très tôt ! Ce qui est constaté par les observations de James Webb.
Résultat :
Ainsi, cette théorie, en extrapolant la création de paires, nous permet de découvrir une matière bien étrange et dont les propriétés semblent correspondre à la matière noire.
De même, on peut prédire certains attributs de cette matière hypothétique et vérifier si elles s'appliquent aussi à la matière noire. Ainsi, cette théorie parle de particules qui ne réagissent pas du tout avec nos forces fondamentales (excepté la gravité). Le tout est de savoir si la matière noire que l'on cherche à observer réagit " peu " (la science est toujours prudente) ou pas du tout ?
En effet, le soleil, par exemple, fusionne peu d'ions puisque c'est une fusion quantique. Ainsi seule l'exception fusionne et non la masse. Ainsi le soleil brille-t-il depuis longtemps et il brillera encore pendant des milliards d'années. Toutefois, dans cette fusion, seule un faible pourcentage de masse est reconverti en énergie. Ainsi le soleil brille-t-il "peu" avec "peu"… une masse gigantesque ! Ce nombre infini de particules multiplie les probabilités de fusions, si bien que le soleil brille de tous ses éclats.
De même, la matière noire est supposée être très nombreuse puisqu'elle compose la majeure masse de l'univers. Ainsi réagir peu avec peu, dans toute cette masse, doit forcément entraîner des effets. Or, les seuls effets observés sont de nature gravitationnelle et non énergétiques. Ainsi, il est à considérer que l'absence de toute interaction avec ces matières mène à cette conclusion : la matière noire est complètement insensible à nos forces énergétiques ! Ce qui conforte ma théorie.
Conclusion :
Tout se crée par paires dans cet univers. Ce n'est pas un hasard, c'est une question de lois de la physique. Et les lois de la physique sont les mêmes en tout point de l'univers. Ainsi chaque pôle nord a son pôle sud, ainsi chaque polarité a son sens contraire. Ainsi chaque particule a son antiparticule. Ainsi, chaque énergie a son contraire. La création de paires est un phénomène équitable, équidistant et instantané. En bref, la matière noire n'est qu'une simple extrapolation de la création de paires.
Démonstration :
Cette théorie offre suffisamment d'arguments pour que l'on poursuive les recherches à travers des simulations qui me sont hors de portée. Des simulations représentant des particules obéissant à nos forces inversées, en commençant par la gravité et la force nucléaire forte. Laissez mijoter le tout et introduisez-y une masse neutre (la galaxie de la Voie Lactée). Voyez ce que donne l'ensemble des mouvements. Selon moi, ils vont tous se mettre à suivre la masse neutre en y ajoutant leur propre masse dans le processus (expliquant chaque point gravitationnel de la galaxie) ! Si c'est bien le cas, la simulation vaudra un prix Nobel car celui qui l'aura faite aura aussi prouvé l'existence de la matière noire ! Bonne chance à ces aventuriers du savoir.
Piste de recherche future :
La Gravité est le point commun. Donc, pour faire réagir la matière noire, il faut utiliser des puits gravitationnels (mini-trous noirs).
Références:
The nature of black matter : an extrapolation of pair creation :
International Journal Of Creative Research Thoughts (IJCRT.ORG) :
https://ijcrt.org/viewfulltext.php?&p_id=IJCRT2312351
Journal of Space Exploration (tsijournals.com) :
https://www.tsijournals.com/articles/the-nature-of-black-matter-an-extrapolation-of-pair-creation.pdf
Journal of physics astronomy :